Partout, sauf dans les zones arides, les Lysimachia poussent très facilement, mais ils sont encore plus vigoureux et fleurissent plus généreusement encore, là où le sol est continuellement frais.
La lysimaque éphémère ou lysimaque à feuilles de saules
Ses feuilles, ovales et un peu pointues, sont unies et luisantes. Depuis juin jusqu’en août, cette plante est garnie d’épis allongés de fleurs blanches qui terminent de grandes tiges (1,20 m environ).
Cette lysimaque supporte assez mal la division des touffes, et elle ne s’adapte vraiment bien que dans les régions aux hivers doux.
Site participatif de la commune de Trébons-de-Luchon
Sur les registres paroissiaux d’avant la Révolution on lit « paroisse de Cazaril et Trébons son annexe »
Sur la carte de Cassini en 1789, c’était Cazaril de las Pennes De 1792 à 1878, c’était Cazaril-Laspènes De 1878 à 1962, c’était Cazarilh-Laspènes
De 1962 à 2014, c’était Cazaril-Laspènes C’est par un décret du 3 décembre 2014 que la commune a retrouvé son h et se nomme donc officiellement Cazarilh-Laspènes
Etymologie :
– casa est un mot latin signifiant maison et casaril est sans doute un diminutif (petite maison)
– pènes vient sans doute du mot espagnol peñas signifiant rocher
Ainsi Cazarilh-Laspènes ce n’est pas « la petite maison dans la prairie » mais « la petite maison dans les rochers » !
En 1850, sur la liste des indigents de la commune de Trébons, figure Jeanne Jouaneton.
C’est une des trois filles de Blaise Jouaneton, cultivateur à Trébons et frère de Fabien Jouaneton, le premier instituteur connu de Trébons en 1823.
Blaise (né le 22 juillet 1786) et Fabien sont les enfants de Jean Jouaneton de Trébons et de Michelle Grougnet.
Blaise s’est marié le 21 septembre 1813 avec Françoise Coulat de Castillon.
Reynette Jouaneton, la soeur de Blaise et Fabien, s’est mariée avec Pierre Laurens de Trébons : ce sont les grands parents paternels d’Alexis Laurens qui sera instituteur à Cazarilh puis à St Aventin et Maire de Trébons de 1900 à 1908.